Mattia Ezio Fragatelli

Tous les hommes meurent un jour
mais peu d’entre eux vivent vraiment.

Pseudo ➸ Drey ou Jax le Chamallow Comment êtes vous arriver ici ➸ Grâce à Maman Dragibus   Fréquence de connexion ➸ 4/7 Code:  Stephen Amell [color=firebrick][i]est[/i][/color] Mattia E. Fragatelli

Prenoms ➸ Mattia Ezio. Mattia est le prénom du frère de ma mère décédé d'une leucémie lorsqu'ils étaient enfants. Ezio est celui du meilleur ami d'enfance de mon père, une vieille promesse, normalement cela aurait dû être mon premier prénom, mais ma mère ne l'aimait pas vraiment. Nom ➸ Fragatelli. Celui de mon père et de mes ancêtres tout simplement. Date de naissance ➸ Il y a 25 ans la nuit du 28 juillet. Nationalité ➸ J'ai la chance d'avoir la double nationalité. Tout d'abord américaine de par ma naissance, puisque j'ai vu le jour San Diego en Californie. Ensuite, j'ai également la nationalité italienne, tout simplement, car mon père est né à Rome et ma mère en Sicile. Métier/Étude ➸ Gérant du bistro italien, Fragatelli. Il s'agit d'un petit bistro aussi chaleureux que le coeur des italiens qui accueil aussi bien les touristes que les gens du coin. Je suis également un criminel, un tueur. Oh, je ne tue pas n'importe qui, n'importe où et n'importe quand. J'ai mes propres critères de sélection, mais je ne peux pas tout vous dire tout de suite. Statut social ➸ Célibataire Colérique ➸ Protecteur ➸ Secret ➸ Déterminé ➸ Rancunier ➸ Attentif ➸ Curieux ➸ Charmeur ➸ Arrogant ➸ Perfectionniste

Que représente la famille pour toi ? ➸ « Un homme qui ne passe pas de temps avec sa famille n'est pas vraiment un homme. » (Francis Ford Coppola). La famille est à mes yeux ce qu'il y a de plus important, certes on ne s'entend pas toujours avec tous les membres, parfois on se dispute, d'autres fois on rigole, on se console... Mais quoi qu'il arrive les membres d'une famille sont toujours là les uns pour les autres. J'aime mes parents, je m'entends très bien avec eux, même si on ne se voit pas aussi souvent que ma mère le souhaite. Je crois que la personne que j'aime le plus dans ma famille, c'est ma petite soeur Lucia. Elle est tout pour moi depuis le jour de sa naissance, je suis capable de me battre pour elle. Je me suis déjà battu pour elle et je suis capable de tuer toutes personnes qui feraient souffrir cette femme formidable. Que représente l'amour et l'amitié pour toi ? ➸ « L'amitié finit parfois en amour, mais rarement l'amour en amitié. » (Charles Caleb Colton). L'amour ? Certaines personnes parlent de coup de foudre comme d'une variation soudaine de la chimie du cerveau, puis ils utilisent tout un tas de terme scientifiques pour expliquer les choses. J'ai cru au coup de foudre il y a longtemps, peut-être que j'y crois encore, mais que cela ne m'intéresse plus. Je ne sais pas trop, après tout l'amour nous tombe dessus sans qu'on s'y attendre réellement, alors j'attends qu'il tombe, même si je me demande si je suis prêt. Et l'amitié ? Mon meilleur ami est responsable de l'accident qui aurait pu tuer ma soeur. Il a de la chance d'être encore en vie au nom de l'amitié que nous avons eu lui et moi. L'amitié est une chose précieuse à mes yeux, vraiment, mais nos amis n'hésite pas à nous trahir, ils sont parfois pires que nos ennemis parce qu'on a confiance en eux. Que représente le travail pour toi ? ➸ « Le travail n'épouvante que les âmes faibles. » (Louis XIV). J'aime mon travail, je me sens bien dans ce petit bistro, je sais très bien ce que j'ai a faire et la plupart des gens savent qui je suis là-bas, enfin ils ont l'impression de me connaitre. La-bas une partie de moi est sincère et entier, j'arrive à ne pas me cachait et arrête de manipulait les personnes qui m'entourent. De plus, j'aime me mettre dès que j'ai le temps derrière les fourneaux, j'aime me servir des couteaux, sentir l'odeur des épices ou de la viande entrain de cuire. Le travail représente à mes yeux une sorte de liberté, une vraie passion, un plaisir et non une crainte comme certaines personnes. Groupe désiré ➸ Pasta

On a tous une histoire

Si ce que tu as à dire n’est pas plus
important que le silence, alors tais-toi.

Es tu née à Rome ? Où viens tu de t'y installer ? Si la deuxième option, pourquoi avoir choisis Rome ? ➸ Non, je ne suis pas né à Rome, mais j'ai du sang italien. Plusieurs fois j'ai fait des voyages en Italie, enfant avec mes parents, puis adulte pour mon propre plaisir, pour mes études également en tant que chef cuisinier. J'ai fait d'autres voyages à travers le monde, je voulais me faire une expérience, mais mes voyages à Rome était de plus en plus récurrent, notamment pour voir ma soeur et ma grand-mère. Finalement, j'ai pris la décision de vivre à temps plein à Rome pour être auprès des deux femmes que j'aime et j'ai ouvert le Fragatelli. Que penses tu de la ville ? Que représente t-elle pour toi ?➸ Cette ville est l'une des plus belles que j'ai eu l'occasion de voir, j'ai vraiment l'impression d'être à ma place ici. Cette ville me donne un sentiment de sécurité, ce qui est plutôt drôle avec moi, non ? Plus sérieusement, cette ville est là où se trouve ma famille, alors je crois que c'est une raison de plus pour qu'à mes yeux ce soit la ville idéal. Es-tu satisfait de ta vie actuelle ? ➸ Je suis un éternel insatisfait. Je fais partie de cette population de personne qui pensent qu'on peut toujours faire mieux, avoir mieux. J'ai une belle vie, une famille formidable, une entreprise qui marche bien, mais j'avoue que je veux plus. Quoi exactement ? Je ne sais. Certains disent une femme et peut-être même des enfants. Va savoir. Une chose est sûre, aujourd'hui je suis heureux, mais je vais l'être encore plus demain. Comment vois-tu ta vie dans une dizaine d'année ? ➸ Dans quelques années ? J'espère que je serais toujours un homme libre, que mon petit bistro sera toujours aussi fructueux et peut-être même que j'aurais la chance d'avoir un ou pourquoi pas deux autres restaurant. L'espoir fait vivre après tout. Peut-être que sentimentalement, j'aurais une femme dans ma vie, une que j'aime et que je n'aurais pas la force de quitter. Peut-être que pour cette personne je deviendrais un homme complètement différents. Ou alors. Ou alors, mon secret sera découvert et je serais en prison ou six pieds sous terre. Seul l'avenir nous le dira.

La jeune femme dormait paisiblement ou presque, sur son visage les bleues n'avaient pas encore disparu. Mattia entendait encore les médecins, la jeune femme avait fait une mauvaise chute dans les escaliers, elle avait une légère commotion cérébrale et elle avait perdu l'enfant qu'elle portait depuis 9 semaines. L'enquête de la police révélait que sa chute n'était pas dû à hasard, quelqu'un, un homme visiblement avait levé la main sur Lyhana. "Tu es encore là Mattia ?" Le ton était froid, le père de Lyhana n'avait jamais voulu que le fils Fragatelli sorte avec sa fille, encore moins qu'à l'âge de 17 ans elle tombe enceinte d'un bagarreur, d'un jeune au mauvais caractère. "Elle dort depuis presque une demie-heure maintenant, tout à l'heure elle à mangeait un peu et..." "A t-elle dis ce qui c'était passé ce soir-là ?" "Non, rien du tout." "Merci Mattia." Ce dernier fit un leger sourire à la mère de Lyhana avant de sortir de la pièce, la règle était plutôt simple, bien qu'elle ne fut jamais dite à haute voix, Mattia ne devait plus jamais se trouvait en présence du père de sa petite-amie, pour le moment il tolérait sa présence dans la chambre de sa fille uniquement grâce au soutiens de la mère de la jeune femme. Il envoya un message à ses parents pour les prévenir qu'il sortait juste de l'hôpital, il avait quelques choses à faire avant de rentrer chez lui. Quelque chose d'important. Il avait menti. Lyhana lui avait tout dis sur la nuit de son accident, elle était sortie avec des amies pour consoler l'une d'elle d'une peine de coeur. Elles avaient passé une bonne soirée et de nombreux garçons avaient en ce groupe de filles une occasion de finir la soirée en beauté ou plutôt avec une beauté. Lyhana avait refusé la proposition d'un type plutôt lourd et lorsqu'elle était sortie prendre l'air seule, l'homme l'avait suivi. D'après ce que Mattia avait pu comprendre, il voulait qu'elle aille faire un tour avec lui et elle poliment refusait. Rapidement la situation avait dégénéré et le type l'agressa physiquement, en la poussant, puis finalement en la giflant. Elle avait fait une chute dans les escaliers à cause de lui et était resté seule sur le sol froid pendant une dizaine de minutes avant que ses copines et des agents de sécurité ne la trouve et appel les secours.

Dans le bureau de son père, Mattia fixer son poing et les marques qui s'y trouvaient. Face à lui, son père était silencieux. Mattia croisa son regard puis observa les photos présentent sur le bureau. La famille. Ses parents. Lui. Lucia. "Mattia ? Dis-moi, qu'est ce qui est arrivé ?" Le jeune homme arrêta enfin son regard sur son père. A sa sortie de l'hôpital, il avait tout fait pour trouver le jeune homme qui s'en était pris à sa petite-amie. Grâce à l'aide de ses connaissances et au videur de la boîte il avait rapidement mis la main sur l'agresseur. Il savait parfaitement qu'il ne voulait pas de simple explication avec cet homme, non il voulait lui faire mal, aussi mal que ce qu'il éprouvait, aussi mal que ce qu'il avait fait à Lyhana. "Je voulais comprendre... Savoir pourquoi ? Il s'en moquait... Il se foutait qu'elle soit à l'hôpital. Après, tout à était très vite puis tu m'as trouvé et... Et voilà." Ce n'était pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vraie non plus. Oui, il voulait savoir pourquoi. Oui, l'homme se foutait complètement des conséquences pour Lyhana et pour Mattia. Mais, il savait parfaitement ce qu'il faisait quand il a porté le premier coup, aussi bien que pour le dernier. Certes, il avait agit trop vite, il n'avait pas de plan sûr que faire du corps ou des preuves, mais il savait très bien à partir du moment où il avait entreprit ses recherches qu'il tuerait le responsable de la perte de son enfant. "Mattia, je sais que tu as toujours eu une approche différente vis-à-vis de la mort, mais est-ce que... Matti ça va mon fils ?" Même dans sa plus tendre enfance, Mattia n'avait jamais pleurait un mort. La mort était la raison de vivre la vie, de se mettre debout chaque matin. Il savait qu'il aurait dû être plus prudent et il le serait à l'avenir, car ce qu'il avait ressenti en mettant fin à la vie de cet homme, il voulait encore le ressentir. "Je ne sais pas papa, mais ça ira."

Son meilleur ami et sa soeur. Il n'en revenait pas. Il ne connaissait pas tous les détails de l'histoire et s'en moquait. Par la faute de Logan, Lucia se trouvait dans un lit d'hôpital et c'était assez pour qu'il termine sur la liste noire du jeune homme. Il devait mettre fin à la vie de son meilleur ami. Possible ? Impossible ? Cette question tournait en boucle dans sa tête depuis l'accident de la belle et la découverte de leur relation. Mattia avait toujours fait fuir les garçons qui s'intéressaient de trop près à soeur et Logan le savait parfaitement. Il faut dire qu'il n'avait jamais vu Logan comme un potentiel ennemi. L'idiot. "Laisse-moi la voir Mattia." Ce dernier se tourna pour voir une fois de plus son ancien meilleur ami. "Non, combien de fois vais-je devoir te le dire. Tu te rends compte que tout est de ta faute Logan, cela aurait pu être encore plus grave que cela !" "Mattia, je t'en prie, je suis sûr qu'elle veut me voir." "Tu crois vraiment, mon pote ? Tu crois qu'elle ne sait pas que tu es responsable de son état. Elle ne veut plus te voir, Logan. Jamais. Ne t'approche plus d'elle ou la prochaine fois, je serais beaucoup moins gentil." Mattia jeta un dernier coup d'oeil au jeune homme qu'il considèrer comme un frère et rejoignit sa famille dans la chambre de Lucia. Il lui embrassa doucement le front et posa un petit ours en peluche à côté d'elle. "Il te tiendra compagnie." La jeune femme eu un léger sourire, Mattia pouvait voir la peine en elle, elle devait se demander pourquoi Logan n'était pas ici, avec eux. Il ne lui dirais rien de la discussion qu'il venait d'avoir avec le jeune homme. Jamais non plus il lui dirais qu'il avait tant voulu la voir. Si un jour Logan tentait de reprendre contact avec Lucia, Mattia le tuerait aussi facilement que les autres. Il y en avait eu quelques autres. D'autres morts. Pas n'importe qui, bien sûr, il le méritait tous pour une raison ou une autre. Des gens qui en avaient fait souffrir d'autres, à chaque fois. Un autre que Logan serait mort.

"Voilà un an que nous nous voyons Mattia. As-tu un bilan à faire sur cette année à Rome ?" Mattia observa le docteur Shearing, il consultait un psychologue depuis des années, depuis le "terrible accident", autrement dit la perte de son enfant, sa rupture avec Lyhana quelques temps plus tard et bien sûr la mort "accidentelle" du responsable de tout cela. "J'ai ouvert mon restaurant, je vois plus souvent ma grand-mère et je suis à nouveau proche de ma petite soeur, Lucia. Je pense que je mène la vie que je souhaite." "C'est drôle, vous dites, je pense, vous n'en êtes pas certain ? Est-ce qu'il manque quelques choses dans votre vie, comme une femme par exemple, non ? Lors de nos dernières séances nous avons parlé d'une jeune femme. Vous l'avez revu ?" Mattia soupira à l'évocation de la belle qui hantait son esprit depuis quelques temps, Sura Boscorelli, une jeune femme qui fréquentait souvent le Fragatelli. Ils parlaient régulièrement ensemble et ils leurs arrivaient même de rire. Mattia se sentait très attiré par elle et avait l'impression que cette attirance était réciproque, mais il n'était pas vraiment doué pour les relations sérieuses. En fait, depuis sa rupture avec Lyhana, il n'avait pas eu de relation sérieuse, mais que des filles de passages, passage plus ou moins long. "Oui et non. Nous nous sommes croisés, il y a quelques jours, pas au restaurant, mais dans la rue." "Et ?" "Et ? Rien. Je dois partir, j'ai beaucoup de travail aujourd'hui. A bientôt." Mattia sortie du bureau rapidement, il avait fait la connaissance de Sura au moment de l'ouverture de son bistro, huit mois plus tôt, ils avaient souvent échangé des avis sur les plats, sur le temps ou sur tout autres choses au début. Des conversations banales, toujours, puis peu à peu ils avaient parlé de leurs vies respectives. Dans ses conversations, Mattia n'avait jamais comprit que la belle travaillait dans la police, il ne l'avait comprit qu'en la croisant dans la rue en apercevant la plaque de la jeune femme. Pouvait-il être ami ou plus avec un membre de la police au vu de ses activités particulières ? Il n'en savait trop rien, cela voulait dire prendre un risque, un risque énorme. Trop important peut-être ? Que fallait-il faire ? Ne plus s'approchait de la belle semblait être la seule et unique solution, en tout cas impossible d'arrêtait les crimes, plus maintenant. Pour la première fois, Mattia se mit à réfléchir aux conséquences de la double vie qu'il menait. Son père avait voulu qu'il aille voir un psy après son premier mort, bien sûr il ignorait qu'il y en avait eu beaucoup d'autres. Comment réagirait-il ? Il aurait de la peine. Et sa mère ? Elle ne s'en remettrait jamais. Puis Lucia. Sa petite soeur. Que dirait elle en apprenant que son frère n'était en faite qu'un assassin cruel et sans pitié ?